top of page

TOYOTA AURIS

Touring Sports

Le géant japonais continue sur sa lancée en « hybridant » petit à petit l’ensemble de sa gamme. Aujourd’hui c’est le break Auris qui s’y colle. Baptisé Touring Sports, c’est le premier break du segment à recevoir ce type de motorisation. Présentation…

Et il veut s’imposer avec sa face avant profilée et son regard des plus sévère. Les lignes tendues de la calandre, et de la partie avant, sont bien sûr reprises de la berline. De profil, la ligne de pavillon sobre et dynamique court du bas du pare-brise jusqu’au béquet. Les vitres teintées associées aux montants noirs renforcent cette allure élancée. Pour coller à l’image de ce type de carrosserie n’oublions pas les barres de toit en aluminium. Elles sont séparées par le Skyview, le toit panoramique du constructeur japonais. Les feux arrière à led adoptent, quant à eux, le design un peu tarabiscoté de la production actuelle.Mais c’est au niveau de l’arrière que l’Auris Touring fait sa particularité. Le bouclier joufflu vient enrober une porte de malle comme pour préserver le coffre, son atout. En effet le volume de chargement est de 1658 litres dans sa configuration maximale c'est-à-dire sièges arrières rabattus (manipulation aisée avec le système Easy Flat). Une très bonne capacité dans la catégorie. L’Auris repose ses 4,56m sur des jantes pouvant aller jusqu’au 17 pouces.

L’intérieur est identique à la berline et on retrouve, sur cette version hybride, l’imposante planche de bord, surtout dans sa partie centrale haute. En optant pour ce type de design l’impression d’être au volant d’un véhicule de la catégorie supérieure est présente. Cette partie intègre l’écran tactile qui englobe les fonctions multimédia / navigation ainsi que la vision arrière de la caméra de recul. En dessous, les réglages de la climatisation automatique bizone tombent aisément sous la main. Des petites touches de couleurs bleues, marque de fabrique du constructeur, nous rappellent que nous sommes dans une voiture qui vise à respecter l’environnement. On en retrouve sur le petit levier qui commande la boîte à transmission continue, sur le poussoir de démarrage du système hybride ou encore dans le design des compteurs. On notera, pour la sécurité, la présence des traditionnelles aides à la conduite : ABS, Contrôle de stabilité, Radars de stationnement, Aide au démarrage en côte ou autre Freinage d’urgence. Les occupants seront protégés par 7 airbags dont un au niveau des genoux du conducteur. Pour le confort cette nippone est équipée de l’ouverture et démarrage sans clé, du capteur de pluie ou encore de l’allumage automatique des feux. Des équipements disponibles suivant les trois finitions proposées : Active, Dynamic ou Style. Sur ce dernier niveau le système d’Aide au stationnement intelligent SIPA permet à votre Toyota de se garer toute seule…

Comme toutes les hybrides, vous serez surpris par la mise en route du véhicule. Un appui sur Start et le silence opère… Heureusement les voyants sont présents pour vous informer que votre véhicule est prêt à obéir à vos ordres. Une pression sur l’accélérateur et, sans un bruit, vous partez en mode électrique !Le groupe motopropulseur hybride combine une puissance de 136 ch. Le moteur électrique ainsi couplé avec le bloc essence 1,8 l VVTi permet de baisser la consommation à 3,7l / 100 km. L’Auris Hybride ne rejette alors que 86 gr/km de CO2. Vous pourrez bien sûr effectuer de petits parcours urbains en mode EV (100%électrique) en ne rejetant aucun polluant. Le système gère les modes de passages optimaux suivant divers paramètres (régime moteur, faible vitesse…). La puissance linéaire, sans à-coups, est restituée sur les roues avant par une boîte à variation continue baptisée e-CVT.Pour apprécier le plaisir de rouler autrement, l’Auris Touring Sports Hybride est proposée à partir de 25 700 €.

Ce grand break est aussi disponible avec 2 moteurs essence (100 et 130 ch, à partir de 18 900€) et 2 Turbo Diesel (90 et 130 ch à partir de 20 800 €).

 

Texte © Thierry ANDRE / Photos Toyota

Lire l'article paru le 10 Octobre 2013

dans le Journal de Tournon-Tain ( PHR)   >

bottom of page